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Le Mondial de l'économie

Dans la phase finale...

METHODOLOGIE: "LA REGLE DU JEU" 

Cette Coupe du monde de l'économie reprend les règles et le calendrier 
de la Coupe du monde de la Fifa. Les pays s'opposent dans des
matchs où sont confrontées leurs performances dans six
critères économiques, subjectivement choisis, mais tentant de
refléter les différents aspects des économies nationales.

Chaque critère donne lieu au gain d'un but. Pour trois critères
(balance courante, PIB par habitant et croissance), le but est
attribué au pays qui fait «le plus». Dans le cas de la dette publique
et du taux de chômage, le pays qui fait «le moins» emporte le but.

Pour l'évolution des prix, c'est le moindre écart par rapport au chiffre annuel de 2 %
- défini 
comme la «stabilité monétaire» par la BCE - qui détermine l'attribution du but,
afin de ne pas donner d'avantage à la déflation ou à l'inflation. 

Par exemple, la Croatie marque un but sur ce critère contre le Brésil, puisqu'en 2013 son taux d'inflation annuel (2,2 %) était plus proche de 2 % que celui du Brésil (6,5 %). Si les deux pays réalisent les mêmes performances sur l'un des critères, un but leur est attribué à chacun. Si une donnée est manquante, le critère n'est pas pris en compte. En cas d'égalité à la fin du match lors de la phase éliminatoire, la victoire est attribuée à la «plus grande économie» mesurée par le PIB nominal.
​Les données sont issues des derniers chiffres disponibles auprès du FMI et de la Banque mondiale.

Pénalties :
​PIB nominal en dollars courants

Qui sera le grand gagnant ?